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Language:
Français
Stats:
Published:
2025-05-11
Words:
1,386
Chapters:
1/1
Comments:
9
Kudos:
5
Hits:
21

Le Vide que tu as laissé

Summary:

Le soleil brille dans le ciel de Los Santos, plutôt normal pour un mois de Mai et pourtant..

 

Tw : Mention de pensées noir, Mention de mort/"suicide?", Doute existentielle, Deuil

Notes:

Bonjour, Bonsoir >:D
Ceci est ma première fan fict public, donc déjà bienvenue dans mon monde, qui sera partagé entre les pleurs et les rires ça dépend (malheureusement pour une première on se rapproche des pleurs)
Je ne connais pas très bien cette application, pardonné moi alors le manque de Tag ect ect.. désolé pour les fautes également, même si je me suis relue beaucoup de fois ahaha. Si vous avez des conseil je suis preneuse bien évidemment. Desole je parle trop, y'a til vraiment des gens qui lissent ceci ? BREF je vous embête pas plus (ー_ー;)
Bonne lecture :P

(See the end of the work for more notes.)

Work Text:

Le soleil brille dans le ciel de Los Santos, plus tôt normal pour un mois de Mai. 

 

Il est assis contre la fenêtre, le front quasiment coller, le vent souffle doucement dehors. Il l'aurait bien ouvert, mais il en n'a pas la force. Le soleil caresse sa peau à travers la vitre et vient rependre ses rayons de miel sur sa peau qui n'a pas vu le soleil depuis un petit moment maintenant. Le seul arbre qu'il arrive à apercevoir derrière le verre est secoué doucement par la brise du printemps, comme s'il était bercé par une mère attentionnée et douce. Les feuilles s'en volent dans des tourbillons, et les oiseaux s'élancent dans les airs pour changer de perchoir. 

Ça aurait pu être un beau jour rempli de joie, vraiment, et il en doute pas que pour les milliers d'habitants qui constituent cette ville c'est le cas. Mais pas pour lui.

Il semble lui d'ailleurs que la chaleur d'une joie réchauffante l'a quittée depuis longtemps maintenant. Seul le vide le constitue, et pas n'importe lequel, celui qu'il lui a laissé, celui qu'on lui a imposé. 

Il soupire contre la fenêtre et rabat ses jambes contre son torse, observant la rue desserte, plutôt à normal pour Forum, mais en même temps si logique pour une fois. 

Il colle sa joue contre les carreaux devenus froids. Il entend, il sent sa propre respiration devenue mésentente, comme si tout l'avait quitté, peut être que c'est le cas, qui sait ? Il lui manque, ce temps où tout aller bien, ce temps où le bain du soleil était accueilli avec bonheur. Le temps perdu, et remplacé par le vide d'une absence, de son absence. 

Il a beau ne pas y penser tout le ramène à lui et il se dit que c'est dingue la capacité qu'à le cerveau à nous faire penser à tout ce qui est morose. Lui qui pensait avoir enfin retrouver la douceur d'avoir une famille, un entourage, des gens sur qui comptaient, après tant d'années passées dans une solitude inconfortable, voilà qu'on commence déjà à lui rearracher. 

Peut-être qu'au final c'est tout ce qu'il mérite ? Une vie remplie de chagrin, d'espoir, de doute et de traumatisme. Peut-être être même qu'il l'a cherché ? Peut-être que c'est sa faute, à t-il trop provoqué à échapper à son destin comme disait son Géniteur ? Il en sait rien et aujourd'hui ça n'a pas de sens. 

Plus rien n'a de sens. 

Il fixe les nuages ​​qui créaient des formes qui n'ont plus de sens, de signification, de but, des choses présentes juste pour l'être. C'est triste, mais de toute façon tout l'est en ce moment. Et il doute, ses démons refont surface peu à peu, il doute de son existence, de sa vie, de ses choix, aurait-il du ? Pourquoi ne pas être rester seul la bas, sans rien, juste les démons qui l'habite. Son existence lui semble tout à coup indifférente, ses choix deviennent mauvais, son esprit se tord en une confusion béante, il repense à sa vie au fait qu'il ne devrait pas être la, oui, il aurait du partir et ce depuis qu'il a commencé à se bruler les ailes. Ses démons encore eux, il le font remonter à loin, très loin, à l'époque où Il aurait du mourir, oui, c'est ça être mor-

Ses pensées sont coupées par une porte qui s'ouvre et le son de pas qui s'approche. Il entend son prénom mais ça lui paru lointain. Il l'entend une deuxième fois, ça le fait rire en quelque sorte, il se demande en combien de temps il sera trou- 

La porte s'ouvre, et quelqu'un entre, laissant l'air frais du couloir s'engouffrer dans la pièce. Elle vient se rependre sur tout son être, le faisant trembler. 

« Marcello ? »

Marcello est content qu'on l'ai enfin rejoint, content que se soit au moment où son côté noir, le côté qu'il a enfouit jadis, refaisait surface. Il se demande un court instant qui ça peut être, même s'il le sait, la voix, l'odeur, la façon de marcher il l'a reconnu à l'instant où ses pas on résonner dans l'appartement. 

Il laisse quelque minute de plus s'écouler avant de répondre par un petit "mmh" presque inaudible, puis il tourne doucement la tête vers son interlocuteur. Il n'a pas changé.

Il est toujours pas bien plus grand qu'avant, il a toujours était plus petit en fait, ses cheveux son attaché dans une queu de cheval mal faite. Il lève les yeux au ciel, mais affiche un petit sourire sur ses lèvres sèches. Ce qui amène Marcello à observer son visage, sa peau pâle, ses tâches de rousseurs, ses traits fatigués, d'épuisement ou de tristesse, certainement les deux. Il finit par relever les yeux vers lui et daigne enfin répondre. 

« Liam ? 

- Je te cherche partout depuis t'a l'heure. 

- Ah. »

Marcello laisse une minute ou deux s'écouler, peut être plus, il n'a plus la notion du temps, Liam reprend. 

« Tu viens ? Tom nous attend »

L'italien retourne la tête vers la fenêtre et la fixe un instant, il regarde l'arbre bercé, les tourbillons de vent qui emportent les feuilles, le soleil qui caresse sa peau. Il finit par se lever pour s'approcher de son ami. Il arrive à sa hauteur, L'irlandais passe un de ses bras autour du cou de Marcello, le rapproche de lui, et colle un baiser sur sa tempe. 

« Ça va aller, mon Loulou pas vrai ? » 

L'italien hoche la tête, il passe ses doigts dans le col de sa chemise et tire sur sa cravate qui l'étrangle. 

Il fixe Liam qui porte ce même costume noir à la différence que lui n'a pas de cravate, pendant un instant il se demande pourquoi mais il oublie vite quand il rencontre les yeux de son partenaire. Il est exténué, il le dit pas mais Marcello le connaît par cœur, ses yeux son gonflés, il a pleuré. Le brun se dit qu'il devrait dire à son ami qu'il est là pour lui mais il n'y arrive pas. Alors à la place il demande :

« T'as pas mis de cravate ? Pas un reproche, ni une question juste une simple constatation.

- Nan. »

Il hoche la tête, et d'un coup ça lui brûle la gorge, il faut qu'il dise à Liam qu'il est là pour lui, sinon il va mourir sur place de regret, Liam a tout fait pour lui, mais il n'est pas sur que l'inverse soit vrai. Il fixe son ami et essaiye de lui dire, il cherche comment formuler, comment s'exprimer. Il sait parler pour calmer les flics, les vagos, mais pour parler sentiments c'est étrangement plus dure. 

« On y va ? Demande le roux.

- Oui. Répond Marcello par automatisme. »

Ses tripes lui hurlent de le dire alors que Liam enclenche la porte, Marcello attrape la main de l'irlandais, le tirant vers lui et il le prend dans ses bras. 

« Je suis la pour toi Liam, peut etre que ca se voit pas mais je le suis vraiment, parce que tu l'es pour moi et que je tiens a toi. » 

Marcello se sent fier de cet petit accomplissement et il sait bien que c'est ces mots dont Liam avaient besoin il le sait car le roux ne répond pas, il serre juste l'italien fort. Ils se lâchent après un moment, et se regardent dans les yeux, d'un accord silencieux ils sortent de la chambre puis de l'appartement. Devant Thomas les attend dans la même tenue qu'eux, sans la veste, adosser à sa voiture, il a les yeux tout aussi gonflés et les mains qui tremblent. Marcello veut aussi prouver à Thomas qu'il est là mais vu que les mots ses pas toujours son fort il choisit l'acte.

L'italien s'avance prend le plus jeune dans ses bras et laisse le loisir à Thomas d'arrêter l'étreinte de suite ou non. 

Après un temps indéfini, Thomas lâche le plus vieux à contre cœur, il fixe les deux adultes, les trois garçons laissent les secondes défiler avant que Thomas demande 

« On y va ? »

- Oui. Répond l'irlandais d'un ton neutre et étrangement posé. » 

Marcello ne répond pas et s'installe, suivit des deux autes familles, et ils prennent la route en silence, pas le silence pesant, le silence d'appréhension. 

Le soleil brille dans le ciel de Los Santos, plus tôt normal pour un mois de mai, dommage que soit le jour de l'enterrement de Twain Logan.

Notes:

J'espère que ça vous a plu Ahahah (J'ai l'impression d'être youtubeuse omg..)
Honnêtement je sais pas si cette histoire est destinée à n'être qu'un OS peut être que je ferais une suite je sais pas je verrais si ça va plu et tout le tralalala..
Je parle trop désolé
Ne vous inquiétez pas on est amène à se revoir, j'ai plein d'histoire en réserve,
A très bientôt pour, un peu plus de joie maybe

Bisou <3